« La passion qui compte »
Faire avancer la profession et s'engager
Élodie, expert-comptable depuis 2014, dirige un cabinet à la Défense, maman de 2 enfants.
Estelle, salariée en cabinet depuis 9 ans, actuellement en congé maternité pour son premier enfant.
Ces deux femmes évoquent leurs parcours et leurs engagements, notamment celui d’Élodie auprès de l’Ordre et de Sup’Expertise.
Pour elle, être au cœur de la formation, c’est pouvoir transmettre « “faire”, plutôt que “critiquer” ».
Un diplôme qui donne les clés de l'entrepreneuriat
Éric, mémorialiste en dernière année de DEC, parcours en milieu aisé, mariage en mai 2022.
Saadia, mémorialiste, a suivi un parcours académique en établissements prioritaires,
maman de 3 enfants.
Saadia et Éric, avec leurs parcours issus de milieux en théorie opposés, partagent leur vision entrepreneuriale du métier.
Ils mettent l’accent sur l’importance de sortir des préjugés sur l’origine sociale ou culturelle des personnes au profit des savoir-être qui sont plus essentiels à la réussite professionnelle.
S'installer comme indépendante : prendre son envol et faire ses propres choix
Imen, diplômée depuis 2009, exerce en tant qu’indépendante
depuis quelques mois dans le conseil (octobre 2021).
Marine, inscrite au Tableau depuis 7 ans, indépendante depuis janvier 2022.
Imen et Marine partagent leur passion de l’accompagnement des dirigeants et de la diversité des missions.
Elles apprécient particulièrement ce milieu dans lequel on peut apprendre en continu, et se saisir de nombreuses opportunités.
Imen évoque notamment avec engouement la possibilité de participer à la conduite du changement de ses entreprises clientes selon 3 aspects essentiels : technique, humain et organisationnel.
L'expertise comptable : un véritable ascenseur social !
Élias, parcours éco-gestion, master CCA, puis 3 ans de stage,
diplômé du DEC, originaire d’Orly, famille libanaise par son père.
Hakan, diplômé du DCG et DSCG,
en parcours de DEC, d’origine turque.
Tous deux mettent en avant l’accessibilité du cursus par la voie classique « gratuite » et à tout type de publics.
Il leur semble essentiel de pouvoir s’engager auprès des entrepreneurs des milieux dits défavorisés qui n’ont justement pas toujours le bagage social et le réseau nécessaire pour le lancement de leur activité.
Leurs témoignages mettent en avant la richesse issue de l’altérité.