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Le Francilien - Le magazine trimestriel des experts-comptables

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Dossier : vers une nouvelle résolution des litiges

webmaster 11 juin 2018    

Garantir la confiance entre les clients et les professionnels, mais aussi entre les professionnels eux-mêmes, c’est l’une des grandes ambitions de l’Ordre. Et cela passe notamment par une bonne gestion des litiges. Réactivité, écoute, expertise, qualité d’accompagnement : autant de qualités déjà présentes bien sûr dans les commissions Conciliation et Devoirs et Intérêts professionnels, mais qui méritaient de pouvoir pleinement s’exprimer, libérées du poids d’une lourdeur administrative héritée d’un autre âge. C’est chose faite avec la nouvelle commission Résolution des litiges, qui a vu le jour le 26 avril. Objectifs, composition, fonctionnement… : on vous dit tout !

Sommaire du dossier :

  • Vers une nouvelle résolution des litiges
  • 3 questions à Denis Chapey
  • La résolution de litiges chez les avocats
  • Exemples de cas traités par la commission
  • La nouvelle commission résolution des litiges

La nouvelle commission Résolution des litiges

Commission résolution des litiges

Président : Michel BOHDANOWICZ

Vice-présidents : Olivier CERF, Denis CHAPEY, Sébastien ROUGAGNOU

Manquements aux devoirs professionnels : détournement clientèle, comportement EC, devoir confraternité…

20 commissions par an

8 dossiers par commission

Classement

PV de conciliation (signé sur place)
PV de non conciliation + Avis consultatif du CRO

Si manquement déontologique >>> CRD, Art 31

Conciliation et arbitrage

Honoraires et droit de rétention, Indemnité de rupture, Cession clientèle

250 commissions par an

1 jour / mois pour chaque conciliateur

Classement

PV de conciliation (signé sur place)
PV de non conciliation + Avis consultatif du conciliateur

Sentence arbitrale

Explication commission résolution des litiges

Sommaire du dossier :

  • La nouvelle commission résolution des litiges
  • Vers une nouvelle résolution des litiges
  • 3 questions à Denis Chapey
  • Ne pas répondre à une convocation : quelles conséquences ?
  • La résolution de litiges chez les avocats

Vers une nouvelle résolution des litiges

Depuis le décret du 11 mars 2015 , qui rend obligatoire la conciliation en préalable à la saisie des tribunaux, l’Ordre de Paris Île-de-France observe une augmentation régulière des litiges portés à sa connaissance. Conséquence : les deux commissions qui les traitent – Devoirs et intérêts professionnels (DIP), et Conciliation et Arbitrage – sont saturées et les délais de réponse s’allongent. Une problématique dont l’équipe d’élus réunie autour de Laurent Benoudiz, épaulés par la direction juridique de l’Ordre, a décidé de s’emparer pour imaginer un système plus efficace et moderne, à la hauteur de notre promesse : rendre service aux confrères.

Depuis quelques années, le conseil régional Paris Île-de-France observe une augmentation régulière des litiges portés à sa connaissance. En effet, depuis le décret n°2015-282 du 11 mars 2015, il est difficilement envisageable, en cas de différend, de passer devant le juge sans avoir auparavant sollicité la conciliation du président de l’Ordre des experts-comptables.

Résultat de ce changement de règles du jeu ?

Les organes de conciliation ont vu le nombre de dossiers passer de 425 en 2016 à 500 en 2017 et à 600 prévus en 2018 (déjà plus de 200 fin avril).

Le rythme des commissions apparaît de plus en plus inadapté au volume des dossiers : les 5 commissions annuelles Devoirs et Intérêts Professionnels (DIP) traitent 40 dossiers par an, et, du 1er janvier au 30 avril 2018, seules 14 conciliations / arbitrages ont été réalisées.

Des chiffres suscitant le mécontentement des parties concernées. « Le rôle de l’Ordre est de rendre service aux confrères, confirme Michel Bohdanowicz, conciliateur et arbitre et jusqu’à présent président de la commission Conciliation et arbitrage. Il faut modifier notre mode de fonctionnement, afin de les aider à résoudre leurs problèmes, tout en assurant le respect des règles déontologiques. ».

Une nécessaire réorganisation des différentes commissions

Dès janvier 2017, l’Ordre régional se saisit de ce problème en s’intéressant aux délais trop importants entre la saisine et le passage en commission. « Les experts comptables pouvaient attendre jusqu’à 6 mois avant le premier rendez-vous, déplore Denis Chapey, jusqu’à présent président de la commission Devoirs et intérêts professionnels. Nous avons souhaité, en premier lieu, raccourcir les délais. »
L’Ordre régional choisit alors de définir un calendrier de réunions. Chaque membre s’engage sur une date, qu’il ne peut pas modifier. Cette première mesure permet de réduire l’attente, mais le délai reste trop long, d’autant que les commissions ne se tiennent que tous les 2-3 mois, examinant à chaque fois 8 dossiers maximum. Le goulot d’étranglement est inévitable. C’est le rythme des commissions et au-delà, c’est leur fonctionnement qu’il faut modifier, d’autant que l’organisation des commissions manque de lisibilité.

En effet, la résolution des litiges s’appuie sur deux commissions : la commission Devoirs et intérêts professionnels, qui résout les problèmes déontologiques, et la commission Conciliation et arbitrage, qui s’intéresse principalement aux problèmes liés aux honoraires. Mais il arrive qu’un dossier passe de l’une à l’autre, la frontière étant parfois ténue entre leurs domaines d’action.
Autre problème à résoudre : certains experts-comptables ne reconnaissent pas l’autorité de l’Ordre régional, et refusent de se rendre aux convocations. Une restructuration s’impose.

Après quelques mois d’une réflexion collective menée en collaboration entre les élus et la direction juridique de l’Ordre régional, une nouvelle organisation, en partie inspirée du fonctionnement des avocats (voir interview de Nathalia Kouchnir-Cargill, avocate membre du Conseil de l’Ordre et secrétaire de la Déontologie), est présentée le 26 avril dernier aux membres des deux commissions, conciliateurs arbitres et membres de la commission DIP.

La fusion des commissions conciliation / arbitrages et DIP donne naissance à une commission unique résolution des litiges, qui impose une vision transversale. Présidée par Michel Bohdanowicz, assisté de trois vice-présidents (Denis Chapey, Olivier Cerf et Sébastien Rougagnou, elle est composée des 16 membres actuels de la commission DIP et des 25 conciliateurs et arbitres.

Objectif : rendre service aux experts-comptables, en réduisant les délais, en augmentant le nombre de litiges traités et en renforçant l’autorité de l’Ordre. « En cas de litige, les experts-comptables doivent se tourner naturellement vers leur ordre professionnel, insiste Michel Bohdanowicz. Et celui-ci doit leur rendre un vrai service. ».

Dès leur réception par la nouvelle commission, les dossiers seront triés selon le type de litige : une partie d’entre eux (honoraires, droit de rétention, indemnités de rupture…) sera traitée directement en conciliation et arbitrage, dans le cadre d’une procédure payante. Lorsque des manquements déontologiques sont invoqués, c’est la commission Résolution des litiges qui prend la main (voir schéma de la nouvelle commission).

Modification du rythme de traitement des demandes

Avec un président et trois vice-présidents, cette nouvelle commission pourra augmenter le nombre de sessions. Les manquements aux devoirs professionnels seront examinés au rythme de 20 commissions par an, soit une toutes les trois semaines (au lieu d’une par trimestre), à raison de huit litiges par commission. Les conciliations et arbitrages, eux, seront traités au rythme de 250 conciliations/arbitrages par an (soit un jour par mois par conciliateur/arbitre).

Les tenues des commissions et les conciliations donneront lieu à un PV de conciliation signé sur place par les parties, ou, le cas échéant, à un PV de non-conciliation accompagné d’un avis consultatif de la commission ou du conciliateur, sans que cet avis soit systématique. Quant aux arbitres, comme actuellement, ils n’essayeront pas de rapprocher les parties, mais rendront une sentence arbitrale, que les parties seront obligées de respecter.
« Plus il y a de consultations, mieux c’est, explique Michel Bohdanowicz. La non-conciliation est susceptible d’aller au tribunal, ce qui donne une mauvaise image de la profession. Et pour renforcer l’autorité de l’Ordre, lorsqu’il ne s’agit pas d’un manquement aux devoirs professionnels, nous souhaitons pouvoir rendre un avis consultatif », insiste-t-il. « Les textes actuels nous permettent d’impulser certains changements, poursuit Isabelle Faujour, directrice juridique de l’Ordre francilien. L’Ordre peut transmettre un avis motivé aux parties en cas de non-conciliation, tant que celui-ci n’a pas de valeur contraignante et ne tranche pas des questions de responsabilité civile professionnelle. » Même si cet avis n’a pas juridiquement de valeur contraignante, les confrères seront incités à le suivre ce qui renforcera l’autorité de l’Ordre.

Ce que les clients en disent

Frédéric H. – Président d’une société de réservation et activités connexes

« Je confirme avoir reçu un appel de Monsieur X ce matin qui nous permet de mettre un terme à ce dossier. Nous avons convenu avec Monsieur X de nous rapprocher afin de pouvoir donner satisfaction au contrôleur fiscal. Nous avons également demandé à notre avocat de suspendre toute action. Je tiens à vous remercier bien sincèrement pour votre intervention rapide et efficace, qui a permis de débloquer cette situation. »

Laurent M. – Dirigeant d’une société spécialisée dans le design

« Les fichiers FEC ont bien été envoyés hier soir après plusieurs relances de mon comptable et moi-même. Je tiens à préciser que la demande initiale date du mois d’octobre. Nous aurons attendu 5 mois pour les recevoir. Encore merci de nous avoir accompagnés dans cette démarche. »

 

Vous souhaitez aider vos confrères à résoudre leurs différends ?
Vous avez des capacités d’écoute, d’analyse et le goût des contacts humains.

Devenez conciliateurs, arbitres ou membres de la commission résolution des litiges. Une formation sera assurée.

Pour participer et connaître les modalités d’indemnisation des conciliateurs :
conciliation@oec-paris.fr

 

Sommaire du dossier :

  • La nouvelle commission résolution des litiges
  • Vers une nouvelle résolution des litiges
  • 3 questions à Denis Chapey
  • Ne pas répondre à une convocation : quelles conséquences ?
  • La résolution de litiges chez les avocats

3 questions à Denis Chapey

Denis Chapey

Denis Chapey était jusqu’à présent président de la commission Devoirs et intérêts professionnels (DIP).
Il devient désormais vice-président de la nouvelle commission Résolution des litiges, conciliateur et arbitre.

Comment fonctionne la commission devoirs et intérêts professionnels ?

Nous recevons des dossiers de litige en vue d’une tentative de conciliation, mais il arrive que les plaignants demandent directement un arbitrage. La commission étudie les dossiers reçus, et reçoit les parties pour entendre leurs griefs. Le travail d’une commission est très long. Il impose de nombreux aller- retour entre les parties, des échanges de courrier… Pour siéger, chaque commission DIP convoque l’ensemble de ses membres, soit une quinzaine de personnes, pour 5 réunions annuelles. Si l’organisation de la commission change, le travail d’écoute et d’analyse des dossiers sera identique. J’en profite pour remercier celles et ceux qui participent aux commissions. Ils sont volontaires et bénévoles, et donnent de leur temps au profit de l’Ordre, et donc de leurs confrères.

Comment se déroule la convocation des parties ?

Parfois, il suffit de deux coups de fil pour que les tensions s’apaisent. L’objectif est de résoudre le litige avant qu’il arrive devant la commission. Lorsque ce n’est pas le cas, nous convoquons les deux parties et nous les écoutons. Nous sommes dans une posture de conciliation. Le fait que nous soyons très expérimentés, et issus d’horizons différents, nous donne une grande ouverture dans l’approche des dossiers. Mais comme dans un divorce, le facteur humain tient une place très importante. Il y a beaucoup d’affect et d’orgueil. Souvent, les deux parties ne sont pas loin de l’accord, mais l’affect les empêche de mettre un terme au litige, qui peut par ailleurs être minime.

Quels sont les cas pour lesquels un dossier va passer en article 31 ou en chambre régionale de discipline ?

L’article 31 peut être évoqué suite à un contrôle diligenté par un élu de l’ordre, ou sur demande d’une commission. Il concerne un comportement qui contrevient à la déontologie (exercice illégal de la profession, clients qui ne reçoivent pas leur bilan dans les temps…). Souvent, les récriminations des clients constituent des éléments d’information, qui nous font suspecter une mauvaise façon d’exercer la profession. Nous convoquons alors le confrère pour écouter ses arguments. Dans les cas les plus graves, et lorsque des preuves de manquement existent, le conseil de l’Ordre, comme l’administration fiscale d’ailleurs, peut saisir la chambre régionale de discipline. À chaque conseil de l’Ordre, des passages en discipline sont votés. Indépendante, la chambre régionale de discipline est composée de juges de la cour d’appel de Paris. Le conseil de l’Ordre ne prend alors plus part à la procédure, puisque le dossier est désormais sous la houlette de la justice.

Sommaire du dossier :

  • La nouvelle commission résolution des litiges
  • Vers une nouvelle résolution des litiges
  • 3 questions à Denis Chapey
  • Ne pas répondre à une convocation : quelles conséquences ?
  • La résolution de litiges chez les avocats

Ne pas répondre à une convocation : quelles conséquences ?

Kelly Gasparetto

Par Kelly Gasparetto – Responsable de la commission Résolution des litiges

L’absence de réponse aux convocations adressées par l’Ordre professionnel constitue un manquement déontologique susceptible de donner lieu à des poursuites disciplinaires. Cette attitude correspond à une désinvolture répétée à l’égard de l’Ordre.

Le Conseil peut décider de traduire en Chambre régionale de discipline un confrère en raison de la non-réponse, non excusée et répétée de celui-ci aux nombreux courriers qui lui sont adressés.

La Chambre régionale de discipline est une juridiction indépendante de l’Ordre, elle est composée d’un magistrat de l’ordre judiciaire et de deux assesseurs membres de l’Ordre. Une fois saisie et le dossier instruit, la Chambre régionale de discipline peut décider de prononcer la sanction de réprimande ou de blâme avec inscription au dossier à l’égard de l’auteur de ces faits.

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  • Vers une nouvelle résolution des litiges
  • 3 questions à Denis Chapey
  • Ne pas répondre à une convocation : quelles conséquences ?
  • La résolution de litiges chez les avocats

La résolution de litiges chez les avocats

Plus souvent que les experts-comptables les avocats sont confrontés à des litiges entre pairs ou avec leurs clients. L’Ordre régional Paris Île-de-France s’est intéressé à leur façon de les résoudre pour faire évoluer son propre fonctionnement. Nathalia Kouchnir-Cargill, avocate membre du Conseil de l’Ordre et secrétaire de la Déontologie, nous explique le fonctionnement des différentes commissions.

La résolution des litiges entre avocats dans le cadre de leur exercice professionnel et celle des litiges entre associés dans l’exercice de groupe est soumise à la loi de 1971, et relève de la juridiction du bâtonnier. Celui-ci statue lors d’une procédure d’arbitrage qui vaut décision de première instance et qui a force exécutoire. En cas de contestation, la cour d’appel peut être saisie, voire la cour de cassation. Toutefois, cette procédure doit obligatoirement être précédée d’une phase de conciliation menée par la commission ad hoc au sein du conseil de l’Ordre. L’objectif de ces commissions est de concilier les parties, un objectif très souvent atteint puisque le taux de conciliation se situe entre 70 % et 80 %. En cas de non-conciliation, c’est la partie la plus diligente qui saisit le bâtonnier

Les litiges d’ordre déontologique sont traités par la commission de déontologie, répartie en plusieurs sous-commissions thématiques : conflit d’intérêt et incompatibilité, secret professionnel et confidentialité, respect du contradictoire, etc. Lorsque le litige ne relève d’aucune de ces commissions, il est traité par la commission déontologie générale (avocats ou justiciables). Enfin, la commission restreinte de déontologie, présidée par un ancien bâtonnier, examine les cas les plus délicats.

Les désaccords autour des honoraires sont du ressort du bâtonnier. Lorsque des clients contestent les honoraires, la juridiction de taxation est compétente pour fixer le montant de ceux-ci. Ses décisions ne sont pas assorties de l’exécution provisoire.

Enfin, le conseil de discipline statue sur les comportements particulièrement graves. Si le bâtonnier décide de poursuivre un confrère, il ouvre une procédure disciplinaire. L’instruction est menée par un membre ou ancien membre du conseil de l’ordre, qui rend un rapport d’instruction. Celui-ci est examiné par la formation de jugement, qui décide soit d’un non-lieu, soit d’une sanction disciplinaire : avertissement, blâme, radiation temporaire ou définitive.

Les différentes commissions sont animées par des membres et anciens membres bénévoles du conseil de l’Ordre. Chaque commission réunit 3 membres, entre 2 et 3 fois par mois, ce qui demande beaucoup de temps et de disponibilité, mais est inscrit dans le mandat électif. La Commission de déontologie examine 6 000 dossiers par an pour 29 000 avocats inscrits au barreau de Paris. Certains dossiers sont traités sur papier, d’autres plus complexes, nécessitent la convocation des parties pour écouter leurs points de vue. Les commissions rendent un avis, qui n’a pas valeur de contrainte. Toutefois, en cas de non-respect de cet avis, le risque d’être renvoyé en disciplinaire existe. 95% des avocats respectent les avis rendus.

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  • 3 questions à Denis Chapey
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  • La résolution de litiges chez les avocats
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